Le mot d’ordre de « N’Djamena ville morte » lancé par quelques Tchadiens désespérés qui souhaitent voir la population de la capitale tchadienne cesser de vivre ce mardi 22 novembre 2016 n’a pas été suivi. C’est normal. Les gens veulent vivre. Ils ne sont pas là pour subir le diktat des défaitistes qui les incitent à mourir. Ça, les Tchadiens l’ont bien compris et ils ne se laisseront jamais éconduire par des opportunistes de tous bords.

Les Kebzabo, Alhabo et consort n’ont qu’à aller se faire voir ailleurs. Ils peuvent aller labourer la terre s’ils n’ont rien à faire. Le Tchad est vaste et il n’y a pas que la politique. S’ils ont échoué, ce n’est pas la faute des Tchadiens. La faute n’incombe qu’à eux-mêmes. Ils savent qu’ils ne pourront plus se représenter à la prochaine élection présidentielle de 2021. Donc ils sont rongés dès à présent par du remord qui les pousse à faire des gamineries. Ils s’enfoncent dans le gouffre.

Que ces gens aient la sagesse d’aller à la retraite à temps, c’est-à-dire maintenant, pour laisser les jeunes cadres dynamiques de ce pays prendre les rênes des mouvances politiques pour préparer l’avenir !

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